Bg Irul

Il sommeille l’âme en paix, à ses pieds repose son Arme
Le mot éternité pour seule voluptuosité
C'est beau de briller, c'est beau d'illuminer
Il sommeille le coeur éclairé, dans ses mains reposent la lumière
Le mot éternité pour parcourir l'univers
C'est beau de voyager, c'est beau de vivre
Il rêve d'image en rouge, tous ces fleurets en fusions
Le mot peur pour la transformation
C'est naturel la force, c'est naturel la collision
Il rêve le souffle brûlé, quand arrentera-t-il de grandir
C'est naturel de pleurer, c'est naturel de mourir

Il se réveil le coeur en paix, à genoux brandi son arme
Le mot puissance pour fendre la destinée
C'est cruel de le toucher, c'est cruel de brûler
Il se réveil l'âme éclairé, tend à propager la lumière
Le mot puissance pour éloigner les fiers
C'est cruel la destiné, c'est cruel de tuer l'air

Il pense d'image brûlée, source de toutes les fusions
Le mot folie pour la seule perception
C'est en allé se figer, c'est en allé bloquer en tortillon
Il pense le souffle rouge, il n’y a plus d étoile pour grandir
Le mot folie pour éviter de souffrir
C'est en allé seul, c'est en allé sans rien a dire.

Prêt a combattre dans les tumultes et le temps
Prêt à abattre son propre sang, à une gloire: mais laquelle...?

Je me présente, je me nomme Talion Irul, mais il m’a fallu bien du mal pour me le rappeler.

Laissé moi vous racontez mon histoire.

Tout commença dès mon plus jeune age, je subissais les moqueries sur mon handicape.
J’étais aveugle d’un œil, malgré cette handicape j’essayais de m’intègre mais en vain.

A l’âge de mes dix ans les moqueries avaient enfin cessé. Le taux de vole et de meurtre en tout genre s’aggravaient dans mon village, mais mon père proposa une loi pour y lutter, il l’avait appeler la loi Talion cette loi disait « Qui m’a fais mal doit avoir mal ; qui m’a crevé un œil doit devenir borgne ; qui a tue doit mourir ». Ce jour la je suis devenue le fils du Talion, je ne vivais que par ce nom, je me demandais même si ils connaissaient mon prénom.

Quelques années plus tard rien avait changé mais mon état ce dégradais de plus en plus, je commençais à perdre la vue de l autre œil. Je ne pouvais quasiment plus me déplacer seul. C’est alors que ma vis bascula. A l’âge de mes treize ans je fus emmené à un magicien du village qui m’apprit l’art de l’invocation. Cet art me permettait d’invoquer un chat qui m’aidait à me déplacer, à partir de ce moment un nouveau surnom me vain Ko-neko ce qui signifiait l’enfant chat.

Mon enfance ne changea pas jusqu’à l’âge de mes quinze ans ou une grande famine s’installa dans mon village les récoltes et le bétail avait été dévasté par une maladie et nous n’avions plus d’autre choix que d’aller voler de la nourriture dans le village voisin, grâce à mon chat il m’étais très facile de ma procurer de la nourriture. J’étais devenue enfin quelqu’un aux yeux des villageois mais ils ne connaissaient toujours pas mon nom.

Au bout de quelques mois le village voisin était devenue comme le notre, plus aucune nourriture et c’étaient enfui de leur village. Nous nous retrouvions au même point. Quelques semaines plus tard des hommes avec des armures somptueuses sont arrivés à notre village, ils avaient tous une étrange lueur blanchâtre qui émanait de leurs corps. Ils étaient venus demander l’hospitalité pour quelques jours. Mon père s’approcha d’eux en leur disant qu’ils pouvaient rester mais qu’il n’avait que l’hospitalité à leur offrir car il n’y avait plus de nourriture. Cela ne leur posa aucun problème.

Au file du temps ils nous aidèrent pour quelques travaux, grâce à eux nos terres étaient redevenu fertile,
On aurais dis qu’ils leur avaient redonner vie. Cela faisait déjà un mois qu’ils étaient dans notre village. Le problème de nourriture avait disparue notre village avait jamais été aussi resplendissant. Ces personnes que nous avions surnommer « Héro ».

Un jour alors que je me reposais non loin du village l’un des ces « Héro » s’approcha de moi et me dit qu’il m’avait vue avec ce chat et que lui aussi étais invoqueur. Je lui répondis qu’il me servait juste à me déplacer à cause de mon handicape. Il m’apprit énormément de chose sur les invocations. Au file du temps il m’apprit à les contrôler et les rendre plus puissante.

Mais quelques mois plus tard le jour arriva, le jour où ils devaient partir leurs séjours qui ne devait durée qu’une semaine durait déjà depuis un an. Les adieux furent triste car tout le monde s’étaient attaché à eux. Quelques minutes après leurs départ de mystérieuse personne arrivèrent à notre village et commencèrent à tous ravager ils avaient brûlé les récoltes, les maisons,…

Les Héro sûrement alerté par la fumer sont revenue et engagèrent le combat et nous ordonna d’aller nous réfugier dans la forêt. Quand nous sommes revenus tous étaient dévastés, mais ce qui nous surpris c’était le calme qu’il y regnait. A notre grande surprise il n’y avait plus aucun survivant.
Je suis arriver devant le corps de celui qui m’avais tout appris sur l’art de l’invocation, une lettre dépassait de son armure, une lettre avec un nom dessus ce nom c’étais le mien, sur cette lettre étais marque Irul… Je ne sais comment il a connu mon nom mais je n’ais jamais eu le courage d’ouvrir cette lettre.

Le jour de mes seize ans tout étais redevenue comme avant, la famine était de retour. Ce soir la je ne souvins d’une phrase que ce Héro ma dit avant de partir. « Peut importe ce que tu veux faire si tu le fais avec le cœur tu y arrivera ». Ce soir la j’ai décider de partir de mon village non pour venger celui que j’avais appeler maître le temps de quelques jours. Mais pour devenir l’un de ces Héro et redonner la joie de vivre à mon village.
Je suis donc parti sans prévenir personne et maintenant me voila livrées a moi-même n’espérant qu’une chose redonner le sourire à mon village.